L'ULCM a été la première organisation à prendre des initiatives parmi la communauté à travers le continent. Localement, on peut mentionner la réalisation de "Daleth" à Montréal.
Aujourd'hui, nous sommes très fiers d'annoncer la réalisation d'un nouveau projet sur le sol lavallois, cette fois-ci pour honorer les vivants.
Pendant plus de cinq ans de travail acharné et assidu, un projet honorant l'ouverture des différentes diasporas à la société lavalloise verra le jour.
Un rêve, une idée, l'initiative de l'ULCM de souligner l'essor de la ville de Laval à travers les communautés culturelles qui s'y sont établies. Un rêve qui a pris cinq ans de préparation, des dizaines de réunions, des ajustements au contenu, des améliorations et des embellissements, des cahiers de charge, des prévisions budgétaires, un protocole d'entente avec la Ville de Laval, un lancement de concours, un jury et un gagnant.
Ce rêve qui se réalise enfin après plus de cinq ans nous appartient.
Oui, c'est notre projet qui nous rend fiers de le voir enfin se concrétiser à notre goût. Il nous appartient car nous en étions les concepteurs, nous étions présents tout le long de sa progression, à préparer son cheminement, signer un protocole pour sa réalisation, et nous voilà aujourd'hui, à sa concrétisation.
Ce projet appartient aussi à chaque personne issue d'une communauté et qui vit à Laval. C'est votre héritage. C'est l'histoire qui s'écrit. Un clin d'œil à nos enfants et petits-enfants, le symbole de notre apport, nous, première génération d'immigrants ayant contribué à l'essor de Laval avec la sueur de nos fronts et dont nous sommes si fiers.
Ce projet est aussi le premier monument qui honore des gens vivants. Des gens comme vous et moi qui avons cette soif de vivre, d'évoluer dans une ville pleine de potentiel. Une ville tournée vers l'avenir et l'acceptation d
e la diversité. C'est le premier monument rassembleur devant lequel chacun de nous trouvera une parcelle d'histoire qui lui est propre.
Ce projet appartient à la mosaïculture, à la diversité qui, contre toute attente, se ressemble et nous rassemble.
C'est ce qu'on cherchait à représenter et c'est ce que l'artiste Patrick Bérubé a pu faire: mettre des millions de souvenirs, des aspirations et des langues internationales en une seule et simple sculpture. Une extraordinaire traduction de différents peuples qui ont eu la chance de se retrouver à Laval, la ville d'accueil et d'ouverture sur le monde.
Roland Dick
Aujourd'hui, nous sommes très fiers d'annoncer la réalisation d'un nouveau projet sur le sol lavallois, cette fois-ci pour honorer les vivants.
Pendant plus de cinq ans de travail acharné et assidu, un projet honorant l'ouverture des différentes diasporas à la société lavalloise verra le jour.
Un rêve, une idée, l'initiative de l'ULCM de souligner l'essor de la ville de Laval à travers les communautés culturelles qui s'y sont établies. Un rêve qui a pris cinq ans de préparation, des dizaines de réunions, des ajustements au contenu, des améliorations et des embellissements, des cahiers de charge, des prévisions budgétaires, un protocole d'entente avec la Ville de Laval, un lancement de concours, un jury et un gagnant.
Ce rêve qui se réalise enfin après plus de cinq ans nous appartient.
Oui, c'est notre projet qui nous rend fiers de le voir enfin se concrétiser à notre goût. Il nous appartient car nous en étions les concepteurs, nous étions présents tout le long de sa progression, à préparer son cheminement, signer un protocole pour sa réalisation, et nous voilà aujourd'hui, à sa concrétisation.
Ce projet appartient aussi à chaque personne issue d'une communauté et qui vit à Laval. C'est votre héritage. C'est l'histoire qui s'écrit. Un clin d'œil à nos enfants et petits-enfants, le symbole de notre apport, nous, première génération d'immigrants ayant contribué à l'essor de Laval avec la sueur de nos fronts et dont nous sommes si fiers.
Ce projet est aussi le premier monument qui honore des gens vivants. Des gens comme vous et moi qui avons cette soif de vivre, d'évoluer dans une ville pleine de potentiel. Une ville tournée vers l'avenir et l'acceptation d
e la diversité. C'est le premier monument rassembleur devant lequel chacun de nous trouvera une parcelle d'histoire qui lui est propre.
Ce projet appartient à la mosaïculture, à la diversité qui, contre toute attente, se ressemble et nous rassemble.
C'est ce qu'on cherchait à représenter et c'est ce que l'artiste Patrick Bérubé a pu faire: mettre des millions de souvenirs, des aspirations et des langues internationales en une seule et simple sculpture. Une extraordinaire traduction de différents peuples qui ont eu la chance de se retrouver à Laval, la ville d'accueil et d'ouverture sur le monde.
Roland Dick